Ma gibecière et moi !
Ce soir, une nouvelle histoire d'amour a éclos. Une très belle et très longue histoire d'amour (du moins je l'espère ! Mais il n'y a pas de raisons).
Je suis tombée amoureuse d'une besace Gérard Darel (celle de la photo, la même, la bleue). J'étais rentrée par hasard (juré craché !!), je la voie ... je m'approche et là : soldée !
Sa petite soeur beige a essayé de me faire de l'oeil, mais j'ai tenu bon ! Je suis restée fidèle à mon premier coup de coeur.
Et donc, cet achat est, pour moi, l'occasion de vous parler des sacs Gérard Darel et plus particulièrement du sac Charlotte (pour avoir une idée de la diversité des modèles).
J'ai découvert ce sac en mai 2005 (il fut mon cadeau de moi à moi pour marquer la fin de ma période d'essai).
En cuir souple (voir moux) et drapé aux 2 extrémités, il se porte sur l'épaule (il n'est pas forcément très pratique l'hiver quand on porte un gros manteau par contre). Son cuir est doux et se patine à merveille en vieillissant (par contre, il vaut mieux le nettoyer de temps en temps avec un lait pour cuir).
Il ferme par un aimant (donc les flippées sur "sac qui doit fermer" comme ma maman peuvent passer leur chemin).
Il peut contenir un bon nombre de choses (il est d'ailleurs bien plus beau quand il est plein).
A celles qui me répliqueront que l'on voit ce sac sur tout le monde (ce qui n'était pas vrai du tout en mai 2005, mais ça l'est devenu en juillet 2006), je dirai qu'il existe un bon nombre de tailles (les minis sont quand même bien petits et le 48 heures est un peu grand, à mon avis le mieux est et restera le 24 heures), de formes (avec poches, sans poches, avec des anses en chainettes, avec rabas ...), de matières (cuir de veau, daim, chèvre, cuir vernis ...) et de couleurs (les classiques, le vieux rose, le bois de rose, le bleu, le rouge, le doré, l'argenté ...) pour que chacune trouve chaussure à son pied.
Ps : les prix varient de 160 euros (pour les petits modèles) à 500 euros (pour la version cloutée), voir beaucoup plus pour le modèle en python !